Du 14 novembre au 9 décembre : Temuco à Quellon (Chiloé)

Nouvel article : il était temps !
Il faut dire que nous avons beaucoup lutté avec les connexions locales.
Bref, voici ce que nous avons vécu ces 3 dernières semaines :

Le 14/11, après avoir achevé l’article précédemment posté, et dégusté quelques empanadas, nous quittons Temuco, direction Freire.
Peu de photos prises sur le chemin : voie rapide.
A l’entrée, tout de même un joli bus de ravitaillement :

Nous arrivons dans l’après-midi

et faisons la rencontre de Christopher, un chico bien sympa !

Après quelques recherches, nous arrivons chez les bomberos,

qui nous laissent ce chouette espace :

Ce cuartel est célèbre : il figure dans le film sur le Ché : « Carnet de voyage » !
Le lendemain, après quelques photos devant le cuartel,

et sur la place (kiosque de Pise ?),

nous partons vers Villarrica (porte d’accès à la région des lacs !).
Très vite, nous avons une superbe vue sur le volcan !

Nous nous en rapprochons petit à petit,

en longeant l’eau,

tout en croisant un peu de vie sur la route…

Petite pensée pour Popy !

Et nous y voilà : Villarrica et son volcan : splendide !

Mais attention aux risques d’éruption !

Nous trouvons refuge pour la nuit dans une salle de caté de la paroisse.  :-)


Bon bivouac, merci pour l’accueil !

Aujourd’hui, nous avons prévu un Skype avec Léon : c’est son anniversaire, 2 ans, déjà !!!
Nous passons donc la matinée dans un café et joignons la famille.
Après encore quelques photos du lac et du volcan,
 
nous prenons le chemin de Conaripe.
Le dôme de neige veille encore sur nous sur de longs kilomètres…

Nous faisons une halte à Lican Ray, à l’heure du goûter,

pour une baignade :-)

L’eau est un peu fraîche !

Puis, nous finissons l’étape jusqu’à Conaripe.
Route toujours superbe…


Là-bas, nous louons une cabane pour la nuit.


Le matin, l’idée initiale est d’aller se baigner dans des termes…
Mais c’est canicule et les bains chauds ne nous tentent plus !
Finalement, nous profitons de la plage et de la place puis prenons la route de Choshuenco.
Longue et belle étape le long de l’eau : c’est ici que commence réellement le magnifique circuit des 7 lacs !

 

S’ensuit une longue portion de ripio ascendante !!! (zut, pas de photo !).
Et nous retrouvons l’asphalte.

Au loin, toujours le volcan Villarrica.

Encore un bon tronçon,

et nous arrivons à Choshuenco crevés où les bomberos nous ouvrent leurs portes sans souci, génial !
Lever tôt le lendemain : nous avons un ferry à prendre pour passer de nouveau en Argentine.
Au-revoir et départ.

Puis ripio jusqu’au port.
Jolies vues,

jolies constructions,

radio locale,

hôtel de luxe…

La fin, sous une bonne pluie !
Après quelques efforts, nous arrivons à l ‘embarcadère.

Plage du départ :

Et nous voilà sur le bateau !

Rencontre avec un motard chilien de Santiago :-)
En route sous un ciel gris.

Petit à petit, le temps se lève,

nous offrant de beaux paysages :

Nous voilà réchauffés et contents :

Une ovation pour le radiateur du bateau !

Nous arrivons à destination :

La pluie est de retour !

Quelle chance : cette superbe gare « maritime » munie d’un bon poêle nous attend !

Pique-nique au chaud en attendant la fin du déluge.
Séchage des chaussures et nous poursuivons le chemin en direction de la frontière argentine.
 
Le temps se lève.
Passage du 1er poste frontière (celui chilien, tout neuf !) :
La voiture des carabineros :

Sortie sans souci sous un grand soleil !

Ici, un site religieux et historique situé à la frontière qui a favorisé la paix entre les 2 pays (église en plein air) :

Et nous passons la réelle frontière,

Le poste frontière argentin nous attend un peu plus loin.
Nous passons devant cette ancienne maison hollandaise qui abrite maintenant l’accueil du parc national :

Après 40 km d’étape (quasiment que du ripio), nous nous arrêtons au camping Nonthue : perdu sur le chemin de San Martin et même plus en fonction !


Ceci dit, il s’avère être un superbe spot pour bivouaquer !

Avec une jolie vue !

Nous y sommes tranquilles !

Seule présence : un camping-car hébergeant 3 pêcheurs argentins super sympas !
Et cette chenille…

Bon repos.
Le lendemain midi, après un petit déjeuner tardif agrémenté de tortillas confectionnées par les voisins et malgré une proposition bien alléchante de partager leur pêche de la veille, nous reprenons la route car nous avons quasiment 60 km jusqu’à San Martin sans lieu intermédiaire de bivouac et plus de ravitaillement possible !
Suite du ripio :

Nous longeons le lac,


grimpons beaucoup,
arrivons sur une clairière et pensons être au sommet…
 
Râté, ça grimpe encore !

Nous y voilà !!!

Paysages dignes du Roi lion !

Quelques maisons isolées :


Nous poursuivons…

Encore un bon bout de chemin avec des paysages toujours plus beaux…  
Et, dans un virage, nous apercevons enfin San Martin de los Andes !

L’air se rafraîchit, nous arrivons refroidis et cherchons directement où dormir…
Après de nombreux essais par ci par là,
nous trouvons refuge à la paroisse.
Le père espagnol nous ouvre ses portes et nous prête une salle de caté :

ainsi que 2 matelas ! Génial !

Vues sur la cour intérieure :

avec le clochet :

Le jeudi (20/11), nous avons beaucoup de choses à faire :
- Essayer de recueillir des infos pour établir notre futur itinéraire (2 possibilités s’offrent à nous : regagner le Chili par la route au niveau de Villa la Angostura, ou, prendre divers bateaux à hauteur de Bariloche mais nous ne sommes pas sûrs que cela soit faisable et abordable en terme de prix…),
- Nous réapprovisionner pour 2 jours,
- Nous connecter à internet,
- Visiter un peu,
- Nous reposer…
Bref, nous décidons de passer une seconde nuit sur San Martin : même pas besoin de rechercher un autre lieu : le père nous propose de rester…
Top !
Nous passons à la bibliothèque :

Aymeric y reste un moment alors que je pars à la recherche d’une connexion… Mission difficile : coupure de courant généralisée !
Un bar a sorti les groupes électrogènes ! J’y arrive…
Quelques photos de nos autres errances :
Parc municipal :

Musée exposant différentes oeuvres d’élèves d’écoles locales :



L’hôtel de ville :

La plaza de armas :

La maison des parcs naturels :

et son beau jardin :

Un bus anglais ?!

De jolies décorations sur les maisons et cafés :

Nous-mêmes au ski :

Chocolaterie du coin :

Quelques rues :


Et le joli port :

Nous sommes invités le soir chez Cécilia et Rodolfo, 2 instits.

Soirée à la bougie car la coupure de courant durera jusqu’à minuit !
Vue sur la ville depuis leur toit :

Et, tentative de départ le lendemain matin après une photo collective : au centre le padre, à droite Cécilia et, à côté d’Aymeric, la responsable de la librairie.

Le retrait d’argent pour effectuer nos courses s’avère impossible et Aymeric se fait même avaler sa carte ! Bloquée ! Oups…
Après diverses tentatives, ma carte veut bien nous apporter un peu d’argent !
Courses et départ tardifs du coup avec une belle étape à venir : 51 km jusqu’au camping du Lago Villarino.
Magnifique route :

Pique-nique sur les 1ers kilomètres aux côtés de 2 chevaux :

Nous en prenons encore plein les yeux :

Chouette cascade :

Et arrivée finalement pas si tard sur le site de camping libre du lac Villarino :

La vue d’ici :

Nous passons la soirée avec Audrey et Vincent, 2 français (Orléans) que nous avons croisés plus tôt alors qu’ils faisaient du stop.

Ils nous ont appris à faire de délicieuses galettes sur le feu… Nous réutiliserons sûrement leur savoir sur la route !
Notre bivouac :

Encore quelques photos prises du site le matin au départ :

Aujourd’hui, c’est route vers Villa la Angostura !
Nous circulons entre lacs et rios,

rencontrons Thomas Leclerc, un cycliste français venant de Picardie, il a croisé Loïc plus au sud !

L’oiseau qui nous a accompagnés dans notre pause pique-nique :

Et la vue que nous avions :

Sympa, non ?
Un peu plus loin à l’approche de Villa la Angostura :

Splendide !

Une fois dans la ville, nous ne tardons pas à rechercher où dormir.
Difficile.
Nous sortons le routard qui nous emmène à une chouette adresse : l’Italian Hostal tenu par un couple de cyclistes :

Chouette endroit !
Nous y restons même 2 nuits car le lendemain de notre arrivée s’avère trop pluvieux pour repartir…

Le must : la cheminée au fond !!!

Nos lits :

Nous rencontrons à l’auberge un cycliste australien qui nous confirme que le passage de la frontière par bateaux est possible et abordable car il l’a fait. Génial ! Nous nous dirigerons donc demain vers Bariloche !!!
Entre 2 averses, nous faisons quand même un petit tour en ville.
J’y suis une star avec ma propre marque de chaussures !  :-)

Lundi 24/11, nous quittons Villa la Angostura et notre Italian Hostal,
 
direction Bariloche !
Vu à la sortie de la ville :

Dommage, nous y aurions bien fait un tour !
Egalement, des toits végétalisés :

La route ensuite est magnifique. Elle longe le lac…

et la Cordillère !

Des eaux parfois couleur turquoise !

Quelle route !

Nous pique-niquons près d’un ruisseau :

Puis, poursuivons :

En face, Bariloche !

Encore quelques kilomètres…

Avec ces paysages typiquement argentins qui nous font rêver !!!

Baie de Dina Huapi, juste avant Bariloche :

Nous y sommes !
Nous finissons dans cet hospedaje car nous n’avons pas trouvé de dodo « libre » :

La mission du lendemain est d’acheter nos billets de bateaux, de visiter rapido la ville puis de nous rapprocher à vélo du petit port d’embarcation situé à une vingtaine de kilomètres de Bariloche.
La Costanera de Bariloche :

Sa vue :


4 indigènes :

La place :

Toujours avec vue sur le lac :

Pique-nique, visite de la ville, achat des billets effectués, nous prenons donc la route de Puerto Panuelo (embarcadère).
Nous longeons le lac et de magnifiques villas avec vue sur l’eau.

L’armée est présente ici :

Encore un joujou pour Vincent !

Nous nous arrêtons à 11 km du port : lieu de camping le plus proche du site d’embarcation du lendemain.
Belle rencontre avec 2 Argentins qui agrémentent nos pâtes d’un délicieux parmesan !
Lever tôt le lendemain pour ranger la tente, effectuer nos 11km sereinement et prendre notre bateau à 9h30.
Il y avait bien un hôtel face à l’embarcadère… Mais hors budget !!! Regardez ça :-)

Jolie chapelle :


Et notre 1er bateau au départ de Puerto Panuelo (Bariloche) en direction du Chili…

Nous quittons le port sous un superbe temps !
 
La traversée est accompagnée de mouettes,

attirées par les biscuits des touristes.

Le spectacle est grandiose !
 
Quasiment 1h de traversée :
Passage par le pont

et l’intérieur :


Belle cascade !

Nous voilà à Puerto Blest !

3 km de vélo plus loin, nous arrivons à Puerto Alegre où nous prenons notre 2ème bateau en direction de Puerto Frias.

Traversée plus courte (environ 20 min), mais tout aussi jolie !
Regardez la couleur de l’eau… (et la barbe d’Aymeric qui pousse…).

Notre chauffeur :

Paysages alentours :


Tranquille la traversée de la Cordillère cette fois-ci !  :-)

Puerto Frias :

Notre bateau repart.

Nous passons à la douane argentine (poste frontière) avant de pique-niquer sur ce superbe site :

Et nous faisons la rencontre de François, un Lyonnais en études sur Santiago.

Pause photo :

Nous attaquons ensuite une longue et dure montée de 5 km sur un ripio assez mauvais.

Contents une fois en haut !

C’est la réelle frontière entre les 2 pays mais le poste frontière chilien est à une bonne vingtaine de kilomètres plus bas.

La descente : ripio !!!


En-bas :

Bluffant !
 

Encore quelques kilomètres…

et nous arrivons à Peulla où se trouve le poste frontière chilien.
Nous y retrouvons François qui a profité d’un bus pour descendre :-)
Nous avançons vers le lac : le 3ème et dernier de notre traversée !

Nous bivouaquons ensemble face à la CONAF (maison des parcs naturels) :
Grasse mat’, nous prenons notre temps, le bateau ne part qu’à 16h.
Pique-nique le long de l’eau.

Suerte est prêt à embarquer.
Anecdote : un chien lève la patte sur ses sacoches :-(

La plage est bordée d’une cascade :


Joli !
Nous embarquons finalement.
Il est temps, le temps se couvre…


La traversée sera malheureusement moins chanceuse : nous ne verrons pas les volcans qui nous entourent, cachés dans les nuages !
Enfin, tout de même de chouettes paysages à observer durant les éclaircies…
  
Nous arrivons à Petrohué après presque 2h de traversée :


Nous enfourchons à nouveau le vélo pour nous rendre à Ensenada.
Mauvaise piste au début : boue + sable = une petite chute mais rien de cassé sur le vélo, et zéro blessure. Ouf !
Nous longeons cette rivière, sûrement un bon spot de rafting !

Nous arrivons finalement rapidement à Ensenada où nous plantons la tente dans le jardin de l’église :

Notre baignoire du soir pour se laver : juste au fond du jardin !

Eau plutôt chaude et vue sur le volcan meilleure que sur le bateau !

Le matin, il pleut des trombes…
Nous attendons une accalmie pour démonter la tente et prenons la route pour Puerto Varas.
Peu après, la pluie reprend et nous suivra quasiment tout le trajet.
On ne se démontera pas pour autant !

Nous approchons :

Puerto Varas !

Encore un toit végétalisé…

Les graffitis du coin : étonnant ?

Nous plantons la tente dans le jardin de cette auberge :
Bon concept : moins cher que l’auberge en elle-même et accès à tous ses services !
Vue depuis le jardin :


Nous y faisons la rencontre de 2 couples de motards : hollandais (www.amsterdamtoanywhere.nl) et sud-africains. Riches échanges.
Tour en ville : très belle église !

Belle maison croisée sur notre chemin :

La vue depuis la costanera :


On navigue au pied des volcans ici, Titoune et Popy !

Le samedi 29/11, nous quittons Puerto Varas en direction de Puerto Montt.
Peu de photos, car autoroute. Nous passons Puerto Montt, qui accueille le TELETHON local : concerts et animations.
Nous poursuivons notre route et posons notre tente dans un camping simple, mais efficace avec douche chaude !!
Nous y rencontrons un groupe de 4 cyclo-voyageurs allemands bien sympathiques.

Le campement rangé, nous mettons les voiles en direction de Chiloé. Nos amis allemands sont devant.
Pause petit déjeuner dans le « kiosco » de Sylvia et Jorge en face du port :

Ici transitent majoritairement des denrées alimentaires destinées à l’aquaculture. En effet la région produit énormément de saumons.

Nous longeons un peu la côte,



recroisons nos amis allemands, qui finalement font demi-tour afin d’éviter la route 5. En effet, ils n’ont que 3 jours devant eux : ce temps ne permet que de traverser Chiloé du nord au sud sans en profiter.
Quelques kilomètres plus loin nous rejoignons un embarcadère, d’où le bac nous emmène sur Chiloé.

Barbe et gilet jaune au vent,

Suerte se repose,

et nous arrivons à destination.

Petit tour du village de Chacao.

Maisons colorées et église en bois.

Resto bon marché.

Et sous les conseils de la police, nous rejoignons notre terrain de camping du jour : la place de jeu du village en bord de mer, SUPER !!

Le lieu est tranquille et occupé par d’autres espèces.
Ici pour se reproduire,

chasser,

ou se balader.

Bonne nuit sous la tente. Bon petit déjeuner sur le gazon et c’est parti pour Ancud.
La route (non asphaltée = chemin de terre et de pierres) longe la côte,





et les champs.

Le « ripio » est usant physiquement : nous arrivons à Ancud contents.

Tour dans la ville.
Escale sur la place centrale, bien animée au fil de la journée : dance hip-hop, joueurs de volley, sortie d’école, voyageurs, parties de baby-foot…

A 20 heures, nous rejoignons Gloria (la soeur d’Hugo, rencontré à Concepcion). Elle nous accueille chez elle :

Soirée vino, bière, pâtes bolo, dodo.
Le lendemain matin, c’est grasse matinée et tour en ville pour tenter de charger nos photos sur le site : difficile !!
A 17 heures nous retrouvons Gloria qui sort du travail. Au programme visite en voiture de la côte nord ouest de l’île abritant le fort Agui et de belles plages.
 
En face : Ancud !





Puis, direction Pinihuil, une plage d’où partent des excursions en bateau pour voir des pingouins. Nous nous contenterons de celui-ci :

La plage suffisant à elle-même !!!
 


Nous tardons un peu et manquons de nous enliser !
Finalement, la chevrolet « submarine » sort victorieuse !  Ouf  :-)
On finit sur une soirée pizzas en ville.
Mercredi 3/12, nous partons en bus et auto-stop vers l’est de l’île, afin de visiter les villages et les églises classées.
Ici Quemchi :


Son église :


Ses bateaux :

Route vers Colo…

1er auto-stop :

Fin du trajet à pied.

Arrivée face à sa belle et vieille église :


 
Chemin vers Tenaun en stop et marche.

La fenêtre ouverte de la voiture et la poussière du ripio ne laissent pas indemne la barbe de « Robinson Chiloé ».

Village un peu plus grand.

L’église :


Toujours des bateaux…

Puis, de nouveau en stop : direction Dalcahue !
Petit tour en ville.
Ici l’église est en restauration totale.

Retour à Ancud avec un bus de luxe (bon marché).
Nous retrouvons Gloria et sa famille autour d’un Curanto maison (viandes, coquillages, galettes de pommes de terre-fromage, haricots et fèves) : un REGAL !!!
Une bonne soirée familiale. Merci la Gloria’s family.

Jeudi 4/12, nous poursuivons notre visite d’Ancud le matin.
Ici le fort :

Passage par la costanera.

Puis visite du musée à l’effigie des églises de l’île.
Beau site valorisant l’art du bois local !!







  
Route pour Dalcahue à nouveau, mais cette fois à la force des mollets.
Nous y trouvons une auberge bon marché :

Le lendemain, armés de nos Kway nous partons à pied sur l’île d’Achao.
Passage par le port.

Bac pour nous rendre sur l’île :

Nous commençons par la visite de Curaco de Velez.
Son église :


Ses maisons anciennes en bois :

Puis rejoignons Achao en stop pour contempler son église classée : la plus ancienne de l’île !


Nous regagnons Dalcahue, y mangeons un bout, et partons en direction de Castro de nouveau à vélo.
Joli !

A l’arrivée sur Castro, les maisons sur pilotis nous enchantent :


La ville donne sur l’eau :

Castro est aussi connue pour sa superbe cathédrale :


Sa place :


Son marché :

Et encore une fois, ses superbes maisons sur pilotis :

Nous dormons chez les bomberos.


Le lendemain midi (samedi 6/12), nous prenons la route de Chonchi.
Encore une belle église croisée sur la route :


Temps un peu couvert mais très peu de pluie.

Encore de beaux paysages…

Nous arrivons dans l’après-midi et passons devant l’église :


C’est chez Juan-Carlos que nous dormirons :


Camping amélioré : il nous laisse cette pièce pour une modique somme :

Nous y restons 2 nuits, histoire de visiter les environs et surtout, de mettre à jour le site !!!
Trouver une connexion n’a pas été facile : c’est une compagnie de bus « Cruz del Sur » qui nous accepte.
Rigolo : nous sommes installés devant la porte des toilettes, à côté de l’urne. Bref, les clients nous prennent pour les « dames pipi » !!!     ;-)

La côte :



Le marché artisanal :

Ici, Noël approche aussi…

Bizarre pour nous, sous le soleil !!!
Le 8/12, « Robinson Chiloé » passe chez le barbier : Aymeric est de retour !
Nous effectuons ensuite la route de Chonchi à Chadmo central.
Quelques zones de ripio dues à des travaux, beaucoup de montées et descentes !
Nous longeons des lacs,

cette jolie « capilla » :

la mer et ses élevages de saumons :


Nous pensons planter la tente à Compu dans le jardin de cette église :

mais nous ne sommes pas acceptés.
Nous poursuivons donc en direction de Chadmo central où le pasteur nous ouvre les portes de son comedor situé juste derrière l’église.

Mortal !

Petit poêle pour se chauffer et cuisiner…

Parfait !

Nous repartons le lendemain matin pour Quellon (ville la plus au sud de l’île d’où nous prendrons le ferry pour Chaiten), après un au revoir.
Ici, la femme du pasteur :

Adorable : elle nous offre des petits pains maison tout chauds !
Quelques maisons typiques vues sur le chemin :

ça grimpe…

et ça descend !

Arrivée rapide sur Quellon.

Le collège :

La vue depuis la côte :
 
Nous déjeunons dans un comedor, achetons nos billets de bateau auprès de la Naviera australe puis trouvons un « chez nous » dans cette auberge « el chico Léo », avec wifi, dans le but d’achever cet article.

Demain nous profiterons de la ville et de ses environs et embarquerons dans la nuit de mercredi à jeudi pour Chaiten.
Après un peu plus de 3 mois de coups de pédales et 3670 km parcourus, nous allons attaquer la Carretera australe !!!
Nouvelle aventure, pour sûr, mais les connexions seront d’autant plus rares…